Je suis né dans une étroite petite maison à Astrub. Mon père était un Iop,nommé Efrodias,un peu gaffeur sur les bords et pas toujours très malin. Il était chasseur et boucher ce qui permettait à notre petite famille de survivre. Je n'ai que peu de souvenirs de ma mère, mais dans mon esprit c'était une femme très douce,intelligente,rusée et emplie d'amour envers son fils et son mari, je ne connais ni son nom , ni sa classe. Petit, j'étais très intelligent à la grande joie de mes parents, et surtout de mon père qui esperait enfin voir un iop bâti pour autre chose que taper. Mais un jour, le drame arriva. Mon père chassait souvent près de la forêt maléfique, il en aimait beaucoup les abords. Le problème, c'est que les bworks,qui quittaient également leur taverne pour chasser près de la foret maléfique (normal, c'est très proche) ne trouvaient plus assez de nourriture pour nourir leur grande tribu. Ils mirent alors en application la solution qui leur paraissait la plus simple, massacrer le chasseur qui volait "leur" viande. Ils retrouvèrent mon père dans la boucherie d'Astrub, le torturèrent puis lui coupèrent la tête. Le sol de la boucherie en porte d'ailleurs encore les marques. Là, ils me kidnappèrent, au départ pour me manger certainement. Depuis on entendit plus parler de ma mère.
Au final, ils ne me mangèrent pas, mais firent de moi un des leurs, j'ai donc été élevé au milieu des bworks,ce qui explique parfois mon caractère violent, et j'ai beaucoup régréssé intellectuellement, pour au final n'être plus capable que de taper . Sad . Bien des années plus tard, après avoir massacré un groupe de bwork qui avait la charge de me garder, Ratala, un enutrof me recueillit. Il me reconnut et me révéla être un bon ami à mon père. Il me réhabilita à la vie "civile" et m'apprit à me battre. Nous étions si proches que nous décidâmes de sceller notre alliance à l'aide d'une guildalogemme. Ensemble, aidés de nombreux aventuriers, nous combattrons les monstres d'Amakna pour que l'histoire qui m'est arrivée n'arrive plus jamais à personne.
Voilà mon histoire ainsi que celle de Veni vedi vici, ce qui peut expliquer nottament mon aversion pour le langage bwork, qui a de plus en plus tendance à envahir Astrub, qui mùe rappelle de biens tristes souvenirs